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Le programme Technologie d’analyses biomédicales au Cégep de Rosemont selon Charlotte

Le Cégep de Rosemont a rencontré Charlotte, une étudiante du programme Technologie d’analyses biomédicales. Découvre ce qu’elle apprécie de sa formation et du cégep!
Le cheminement scolaire
Comment as-tu découvert le programme Technologie d’analyses biomédicales?
J’ai découvert le programme en faisant mes propres recherches parce que j’ai toujours voulu travailler dans les laboratoires. Je cherchais vraiment un programme qui était dans le concret. C’est à ce moment-là que j’ai découvert le programme Technologie d’analyses biomédicales au Cégep de Rosemont.
Il y a beaucoup de gens qui disent que la seule façon de pouvoir travailler dans les laboratoires, c’est d’aller en Sciences de la nature et de faire un BAC. Je pense que notre technique n’est pas assez connue, parce que c’est vraiment un chemin intéressant pour pouvoir aller travailler dans les laboratoires au Québec, sans avoir à passer par l’université.
Le visage humain du Cégep
Comment décrirais-tu l’ambiance qui existe au Cégep de Rosemont?
Je dirais que l’ambiance est vraiment chaleureuse. J’ai été à un plus gros cégep avant. Je trouve qu’en étant à un petit cégep, avec un petit nombre d’étudiants, c’est intéressant parce que les profs sont vraiment axés sur notre réussite, puis on voit que le personnel en général dans l’école est vraiment axé sur notre réussite et sur notre bienêtre. C’est bien.
Je dirais que, ce que j’aime le plus ici, c’est vraiment l’ambiance. Comme on est un petit cégep, on dirait qu’on est tous un peu amis, dans un sens, puis c’est vraiment chaleureux, que ce soit entre les professeurs et nous, ou même, entre étudiants, je trouve que c’est vraiment une ambiance chaleureuse.
L’excellence des programmes
Comment décrirais-tu les cours? Qu’est-ce que vous apprenez dans le programme?
C’est un programme technique, donc on a six sessions. La moitié des cours sont des laboratoires et l’autre moitié sont des cours théoriques. Tout ce qu’on apprend en théorie, on le met en pratique après. Ça nous aide à comprendre la matière, à appliquer la théorie.
Les cours sont axés sur la science, et tout est en lien avec le système de santé québécois.
Les différents départements principaux dans lesquels tu peux travailler sont l’histopathologie, la biochimie, l’hématologie, la microbiologie et la science transfusionnelle. On apprend en général les cinq départements et, après, quand tu as ton diplôme, tu peux décider dans quel laboratoire tu veux vraiment travailler.
Comment me décrirais-tu l’ambiance dans tes cours?
J’ai vraiment l’impression que dans la technique, on est un peu tous des amis, que ce soit avec les professeurs ou avec les étudiants.
On n’est vraiment pas nombreux alors ça fait un petit cercle de personnes. On s’entraide tous entre nous, on est vraiment là pour s’aider. Ce n’est pas une compétition, on essaie tous de passer nos cours et d’avoir de bonnes notes. On s’aide à comprendre la matière.
Comment décrirais-tu tes enseignantes?
Les profs, ce qui est cool, c’est qu’elles ont toutes, ou pour la plupart, fait la technique. Elles savent vraiment comment nous aider. Que ce soit pour n’importe quelle question sur la profession, elles peuvent nous outiller et nous aider à trouver dans quel département on voudrait travailler.
Les profs sont vraiment axés sur notre réussite, elles sont toujours là pour répondre à nos questions ou organiser des récupérations si on en a besoin. On est vraiment proches de nos professeurs.
Ce qui est agréable d’être une petite cohorte, c’est qu’on voit que nos professeurs veulent vraiment notre réussite. Elles veulent vraiment être là pour nous outiller, et non juste nous enseigner la matière. Elles veulent vraiment nous aider, tout au long de notre parcours.
Comment décrirais-tu ta profession à une personne qui ne connait pas du tout le domaine?
Un technologiste médical, c’est tous les échantillons qui sont analysés en laboratoire et qui permettent aux médecins de poser un diagnostic. C’est le technologiste médical qui fait toutes les analyses, que ce soit les prises de sang, les tests d’urine, les tests de selles et autres. On analyse ça, selon ce que le médecin demande et, après, on donne des résultats au médecin, pour qu’il puisse poser un diagnostic et le donner au patient.
C’est vraiment une face un peu cachée du système de santé, mais on est vraiment nécessaires pour permettre aux médecins de poser des diagnostics et de faire leurs suivis auprès de leurs patients.
Quelles sont selon toi les qualités essentielles pour être une bonne technologiste médicale?
Je pense que ça prend de l’autonomie, parce qu’on a parfois besoin d’être seul, de comprendre, par exemple, comment les machines fonctionnent.
On a vraiment besoin de rigueur pour pouvoir faire cette profession parce que c’est vraiment exigeant quand même. C’est beaucoup de « par cœur », mais c’est vraiment intéressant! Il faut aussi avoir de l’intérêt, bien évidemment, pour le système de la santé et tout ce qui touche à ça.
Puis, ce qui est agréable dans notre programme, c’est qu’on n’a pas beaucoup de contact avec le patient. On peut donc avoir une personnalité plus réservée. Si on aime le domaine de la santé, on peut y travailler sans avoir besoin d’être infirmier, médecin, etc.
Est-ce que tu dirais que la profession de technologiste médical, c’est un travail d’équipe ou principalement individuel?
Ça dépend beaucoup des laboratoires. Il y a des laboratoires où on va vraiment travailler en équipe, avec beaucoup de communication, et il y a des laboratoires où le travail se fera plus individuellement. Ça dépend vraiment dans quel département tu veux travailler.
La vie étudiante
Si tu pouvais donner un seul conseil à une personne qui commence le Cégep, que lui dirais-tu?
Mon conseil pour quelqu’un qui arrive au cégep, c’est de ne pas trop y penser. Personnellement, j’étais vraiment stressée. Je pensais que ça allait être un gros choc en sortant du secondaire, mais si que tu te concentres sur tes études et que tu donnes de l’effort dans tes cours, je pense que ça va bien se passer. Il faut juste ne pas trop stresser face à ça. Une fois que tu y es, ça va bien.
Après le cégep
Où te vois-tu dans 5 ans?
Je ne sais pas encore dans quel hôpital ni dans quel département, mais je me vois travailler dans le système de la santé publique. Je pense qu’il a vraiment besoin de nous en ce moment. On parle souvent de pénurie, mais, même dans notre domaine, il y a une grosse pénurie de technologistes médicaux. C’est sûr que je veux donner ma vie au public pour aider le système de santé québécois.
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